Crucetta Chavand, artiste peintre en Auvergne-Rhône-Alpes

LES ŒUVRES D'UNE PASSIONNÉE

Peintures à l’huile au couteau
Portfolio de Crucetta Chavand,
artiste peintre

Chaque toile est une trace du geste, un instant saisi entre matière, couleur et émotion.
Découvrez un travail passionné, profondément ancré dans le vivant.

Une sélection de toiles sera bientôt disponibles à la vente sur Artmajeur,
plateforme dédiée aux artistes contemporains.

Notre-Dame de la Garde la nuit

81 X 65 CM

La nuit, Marseille ralentit, mais là-haut, quelque chose veille.
Notre-Dame de la Garde, suspendue entre ciel et mer, garde dans son silence les secrets du port, les murmures du mistral, les lumières qui clignotent sur la Méditerranée.
Elle n’éclaire pas, elle rassure.
Ancrée dans la pierre, tournée vers l’horizon, elle appartient autant aux croyants qu’aux marins, aux enfants du quartier qu’aux âmes de passage.
À la nuit tombée, elle devient un phare immobile, posé au bord du rêve.

Les 5 Terres

81 X 65 CM

Entre les falaises et la mer, les villages semblent accrochés au temps.
Les Cinque Terre racontent une Italie brute et lumineuse, où chaque pierre, chaque façade, chaque barque a le goût du sel et du soleil.
Ici, tout est couleur : les murs, les ruelles, les regards.
Le silence n’existe jamais vraiment — il y a toujours un rire, un pas, une voix qui chante plus loin.
Et pourtant, dans la lumière de fin de journée, tout paraît figé, comme une carte postale qu’on aurait peur de froisser.

Porto Venere

73 X 60 CM

Ça déborde de couleurs.
Comme si les murs avaient décidé de ne pas choisir.
Du bleu, du rose, du jaune, du rouge.
Pas pour faire joli.
Juste pour exister pleinement.

Le port est calme, mais les reflets dans l’eau ont du caractère.
Ils bougent, ils s’étalent,
ils racontent qu’ici, on vit avec la mer — pas à côté.
C’est pas un décor de carte postale.
C’est un lieu qui respire,
et cette toile, c’est un instant de respiration volé au quotidien.

Villefranche-sur-Mer

70 X 70 CM

Ici, les façades ne se contentent pas d’être colorées : elles respirent.
Elles vibrent sous le soleil, s’animent à chaque pas, à chaque éclat de voix.
Les bateaux dansent doucement, à l’unisson des conversations de quai.

Tout est matière à rythme :
les volets qu’on claque, les rires qui roulent,
les ombres portées des palmiers sur l’eau dorée.

Villefranche n’a rien d’un décor.
C’est une scène vivante, où les journées s’improvisent au gré de la lumière.

Flora, mauricienne

81 X 65 CM

Flora s’éloigne doucement, comme un souvenir qu’on ne veut pas oublier.
Elle avance portée par la lumière, sans bruit, dans une élégance qui ne cherche pas à être vue.
Son silence dit beaucoup — une force paisible, une chaleur discrète, la beauté de celles qui n’ont rien à prouver.
Elle laisse dans l’air une trace douce, presque familière.

Malika, mauricienne

81 X 65 CM

Malika regarde ailleurs, vers quelque chose qu’on ne voit pas.
Peut-être un souvenir, peut-être rien du tout.
Son port est calme, mais tout en elle semble prêt à bouger, à dire.
Elle incarne cette intensité discrète que l’on sent plus qu’on ne comprend. Une flamme tournée vers l’intérieur.

Calvi, Corse

92 X 73 CM

Calvi s’étire sous le soleil, entre mer profonde et citadelle immobile.
Il y a dans l’air quelque chose de salé, de chaud, d’authentique.
Les murs portent la mémoire, les bateaux racontent l’attente, et le vent, parfois, souffle comme un chant ancien.
Ici, tout est calme et vivant à la fois — comme si le temps prenait son temps.

Une nuit sur Notre-Dame de Paris

64 X 50 CM

La ville s’endort, mais Notre-Dame reste éveillée.
Sous la lune, sa silhouette veille, immobile et pleine de souvenirs.
On n’entend plus les cloches, mais on devine encore les prières anciennes accrochées à la pierre.
Dans cette nuit dense, elle devient moins monument que présence — familière, fragile, éternelle.

Le Mont Saint-Michel la nuit

73 X 60 CM

Il émerge doucement de l’obscur, comme un rêve posé sur l’eau.
Ni tout à fait terre, ni tout à fait mer — juste une lueur dans la nuit, immobile.
Le silence y est plus dense, presque sacré.
Le Mont-Saint-Michel ne s’illumine pas : il murmure, il traverse le temps.
La marée monte, redescend. Lui reste.

La Sega mauricienne

100 X 100 CM

La musique monte comme une chaleur dans les jambes.
Les corps se répondent, se mêlent, s’enlacent sans jamais s’arrêter.
La Séga, c’est plus qu’une danse : c’est un langage.
Une façon de dire qui l’on est, d’où l’on vient, ce qu’on refuse d’oublier.
C’est la joie ancrée dans la terre, portée par les mains, les hanches, le feu du tambour.
Un battement qui ne s’écrit pas — il se vit.

Gentianne

70 X 70 CM

Elle est là, posée dans le calme du jour.
Rien ne presse, rien ne pèse.
Gentianne incarne cette beauté qui ne cherche pas à briller, mais à durer.
Autour d’elle, le monde peut attendre — elle est ailleurs, dans un espace à elle seule, fait de lumière douce, de pensées vagues, et de silences qui réconfortent.
Un instant suspendu, comme une respiration entre deux battements.

Retour de marché, Thaïlande

73 X 60 CM

Le matin s’étire doucement, sans bruit.
Les vélos avancent au rythme du jour, chargés de fleurs, de légumes, de sourires invisibles.
Tout semble couler — l’air, la lumière, les pensées.
Ce n’est pas un événement, juste un moment de vie.
Et pourtant, dans sa simplicité, il touche quelque chose d’essentiel : l’équilibre, la douceur, la beauté d’être là.

Port de Menton

81 X 65 CM

Ici, tout est lumière.
Les façades dorées s’empilent comme des souvenirs de fin d’été, et les bateaux reposent doucement, bercés par une mer sans urgence.
Menton regarde le jour passer avec cette douceur du Sud, chaleureuse sans être bruyante.
C’est un coin de Méditerranée où le temps ne cherche pas à fuir — il s’installe, paisible, coloré, vivant.

Paola

100 X 50 CM

La belle andalouse

100 X 50 CM

Carmelia

100 X 50 CM

 

Elles ne dansent pas pour séduire. Elles dansent pour dire.
Leurs bras tracent des lignes d’histoire, leurs robes frappent le sol comme une langue ancienne.
Paola, Carmelia, la Belle Andalouse : trois femmes qui incarnent l’Andalousie dans ce qu’elle a de plus vif, de plus ardent.
Le rouge qu’elles portent n’est pas décor — c’est un cri, une force, une mémoire qui traverse le corps.
Chaque geste est un souffle, un rythme, un éclat.
Elles brûlent. Elles s’élèvent. Et quand le silence revient, elles restent, comme une empreinte sur la peau.

Fleur de l'île

92 X 73 CM

Le tissu tourbillonne,
les hanches dessinent la musique avant même qu’elle ne commence.
Sur sa peau, le soleil danse aussi — en écho aux couleurs de l’île.
Ce n’est pas juste une danse.
C’est une mémoire vivante, une joie brûlante, une île qui parle avec le corps.

Vue sur le Vésuve

55 X 45 CM

Sous la lune calme, il dort — mais on n’oublie jamais qu’il veille.
Le Vésuve se dresse comme un souvenir immobile,
majestueux et silencieux, gardien d’un passé enfoui.
Au pied du volcan, les barques reposent,
doucement bercées par une mer qui semble avoir tout entendu.

C’est une nuit où l’histoire ne dort pas tout à fait.

Vignes avec Feuilles dorées

41 X 33 CM

C’est l’heure où la vigne flamboie,
où chaque feuille se fait or, comme un dernier éclat avant le repos.
La terre est chaude, vivante, gorgée de soleil et de mémoire.
Entre les ceps noueux, on devine le geste des saisons, le labeur invisible et les promesses à venir.

Ici, le silence a le goût du vin en devenir.

Paysage enneigé

73 X 60 CM

La ville s’est mise en veille, comme si la neige avait ralenti le temps.
Les toits ploient sous le poids doux du silence, les arbres deviennent des esquisses, et les lampadaires diffusent une lumière d’aquarium.

On marche lentement, sous les parapluies, en glissant parfois un mot — mais le plus souvent en se taisant.
Grenoble, tapie au creux de ses montagnes, semble elle aussi écouter tomber l’hiver.

Nuit sur Grenoble

73 X 60 CM

La ville s’étire entre deux rives, posée comme une parenthèse entre les montagnes.
Les lumières de la ville percent le bleu profond de la nuit, se brisent et se recomposent dans l’eau noire de l’Isère.

Au loin, les cimes veillent, blanches et silencieuses.
En hauteur, la Bastille luit à peine, pendant que les œufs du téléphérique flottent dans l’obscur comme un chapelet suspendu.

C’est une nuit bleue, dense, vibrante — où Grenoble devient presque une idée.

Pleine lune sur la Bastille

81 X 65 CM

La ville dort à moitié, mais la montagne veille.

La Bastille, accrochée à la nuit, semble écouter le silence bleu du ciel.
En bas, les façades s’allument comme des lanternes ; elles dansent doucement dans le miroir de l’Isère.
Et au-dessus, suspendus dans l’obscur, les célèbres œufs du téléphérique flottent comme une constellation en mouvement.

C’est une nuit de pleine lune, où tout devient peinture :
les reflets, les collines, les passants, les souvenirs.

Rêveries d’Azur, Nice

81 X 65 CM

Sous les palmiers, la nuit s’épanche en reflets bleu et or.
Le Negresco veille, couronné de lumière, pendant que la ville glisse doucement vers ses songes.
On entend presque le clapotis discret de la mer, en contrepoint des pas qui résonnent sur les dalles humides.

Une robe fuchsia traverse la scène comme une note vive,
et tout autour, Nice respire — élégante, vibrante, infiniment présente.

Basilique Sacré Coeur, Grenoble

55 X 45 CM

À Grenoble, on lève souvent les yeux vers les montagnes. Mais parfois, c’est une façade que l’on contemple, entre deux arbres, baignée de lumière douce.
Le Sacré-Cœur se tient là, paisible, au milieu du quotidien.
Ni ostentatoire, ni distant — juste là, ancré, comme un point de calme dans la rumeur urbaine.
Et la vie autour continue : des passants, des couleurs, une ville en marche.

Basilique San Marco, Venise

65 X 46 CM

À Venise, la lumière ne tombe jamais vraiment.
Elle rebondit, elle glisse, elle danse.
Sur les dômes bleus de San Marco, sur les reflets dorés du parvis, sur les pas des passants.
Chaque instant devient tableau, chaque mouvement une mémoire.
Et toujours cette impression : être à la fois ici, et ailleurs.

Piazza San Marco, Venise

70 X 70 CM

Quand la nuit tombe sur la place Saint-Marc, ce n’est pas le silence qui s’installe, mais une autre musique.
Les façades s’illuminent comme un décor d’opéra, et les pas résonnent sur les pavés mouillés comme une danse ancienne.
Venise ne dort jamais vraiment.
Elle chuchote à ceux qui savent s’attarder.

La dent de Crolle,
les bottes de foin

73 X 60 CM

La montagne se tient là, massive, familière, comme une présence qu’on n’explique pas.
Autour d’elle, les champs s’étendent, couchés sous le soleil, piqués de bottes de foin comme autant de pauses dans l’été.
Et puis, au-dessus de tout ça, un parapente, minuscule et libre, vient rappeler que l’on peut s’élever, même depuis la terre.

Île de Ré,
Pormenade au bord de mer

70 X 70 CM

À l’Île de Ré, les chemins longent l’eau comme des promesses tenues.
On y marche doucement, sans but précis, juste pour sentir l’air salin et le soleil sur les bras.
Les maisons blanches veillent au loin, les barques dorment, les fleurs s’accrochent aux dunes.
Tout semble léger ici, même le temps.

Les voiliers, île Maurice

81 X 65 CM

Ils avancent, sans heurt, portés par l’air tiède et l’appel du large.
Leurs voiles colorées tracent des lignes vives sur l’eau calme, comme une peinture dans la peinture.
Pas de destination pressée — juste la beauté d’être en mouvement.
À chaque reflet, l’océan semble les applaudir.

La Cédraie

80 X 80 CM

Elles se retrouvent là, comme on se retrouve depuis toujours.
Entre les troncs anciens, les gestes se répètent, les paroles se devinent.
Il y a de l’eau, de l’ombre, des couleurs vives qui tranchent dans le vert.
La cédraie n’est pas qu’un décor — c’est une mémoire vivante.
Un lieu où les femmes portent le lien, le rythme, et la force tranquille du quotidien partagé.

Manorola

81 X 65 CM

Les maisons semblent empilées comme des confidences, serrées les unes contre les autres pour ne pas tomber.
Manarola vit suspendue entre le bleu et le soleil ocre, dans un désordre lumineux qui ne doit rien au hasard.
Ici, chaque mur a vu passer le vent, le sel, les voix.
Et même quand tout paraît immobile, c’est la vie qui remplit chaque interstice.

Et puis il y a les sculptures.

Parfois en bronze, souvent en terre ou en matière brute,
toujours traversées par la même poésie.
Des visages venus d’ailleurs, des femmes debout,
fières, assises, guerrières ou en paix.
Chaque pièce semble raconter une histoire,
silencieuse, mais vivante.

Un autre geste, une autre matière —
mais le même regard.

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error: Ces images portent l’âme d’un travail passionné. Merci de les contempler, pas de les copier.
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